Thursday, December 17, 2009

Quelques images de Kubrick le Collie

Un chien, ciboire. Me suis pris d'affection pour une grosse patente à pattes dont les 2 priorités sont : fouiller dans la poubelle de la cuisine pour y dénicher un snack improvisé; perdre son poil et le répandre sur les meubles, le linge et le plancher.

Bin coudonc... Faut trouver ça l'fun (avoir un chien, j'veux dire...) pour partir à moins vingt (la température, de même que le nombre de minutes qui précèdent les coups de 6 h), lui faire faire une petite balade, un petit tas, le ramasser, nouer le sac pis rentrer se moucher parce qu'on a la guedille au nez.

On aura beau dire, il est sympa mon cher Kubrick. Pis j'l'aime bin. En voici donc quelques clichés.




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À propos de l'écriture

Ceci est un blogue. Je suis un blogueur. Si j'ai décidé de bloguer, c'est pour partager des affaires dont la majorité d'entre vous se fouttent éperduement, mais surtout pour pouvoir écrire autre chose, autrement, que ce que je fais à longueur de journée (vendre l'idée aux gens que les émissions dans la tivi, sont bonne!).

J'écris assez spontannément, automatiquement. Bien que la langue revête une importance primordiale à mes yeux, il peut évidemment arriver, dans un élan d'entrain incontrôlable, que des phôtes se glissent ici et là. Il se peut même que j'invente des mots, des styles, des tournures. Mea cupla.
Ceci étant dit, tous vos commentaires et ajouts à ces tranches de vie sont plus que la welcome! bruno@brunoplourde.com.

La grippe aviaire-porcine de mes deux : A(H1N-NON)

Vous souvenez-vous du dangereux virus du Nil, qui devait nous exterminer tous il y a quelques années?

Avez-vous souffert de la méningite, il y a deux décennies?

Est-ce que les « killer bees », qui arrivaient du Mexique avec la rage de nous tuer sauvagement, ont campé leur ruche sur votre terrain?
La grippe aviaire, vous vous en souvenez?

(Bien que ce problème environnemental en soit un de premier ordre), connaissez-vous quelqu'un qui a souffert de la présence d'algues bleues ou vertes ou jaunes ou magentas?

Vous êtes-vous déjà fait frapper par un bus?

Avez-vous déjà gagné le gros lot?

Savez-vous que des milliers de personnes meurent chaque année du cancer? De maladies cardio-vasculaires? Fait-on quelque chose pour sauver ces milliers (dizaines de milliers) de victimes, de vies? Pour prévenir la progression de ce VÉRITABLE fléau?

Non. On fait la file pour la A(H1N1). Pourquoi? Bin, semble-t-il que ça rapporte des milliards aux pharmaceutiques, aux fabricants de masques et de gants chirurgicaux, aux brasseurs de la Purel et que ça donne raison aux médecins de dire que ça va mal dans le système de santé. Oui, ça va mal. Pourquoi? Parce qu'on fait des opérations politico-médiatiques monstres pour mettre des plasters, alors que des milliers de gens attendent avec un organe malade,déficient ou en moins.

Chaque année (chaque saison, on dirait), ça prend une nouvelle bibitte pour nous faire faire dans notre froc. Pour entretenir les conversations près de la machine à café. Pour nous faire sentir qu'on met de la pression sur nos élus et que finalement ils capitulent et nous écoutent. En réalité, ils profitent de cette cohue pour se la couler douce et faire passer des entourloupettes au peuple effrayé et docile (ref.: le film « Wag the Dog »).

Je suis loin d'être un parano qui voit le complot partout, mais sincèrement, combien de morts sur le dos de la C-difficile, qui a tenu la manchette pendant je ne sais combien de semaine? Combien de milliards dans les coffres des big-pill-salesmen? On parle de la A(H1N-NON) comme si c'était le Jugement Dernier, alors qu'on ne parle plus du SIDA et qu'autant de personnes en sont atteintes, en meurent, que lorsque ce virus défrayait la manchette à 8 h, midi, 18 h et 22 h. Peut-on laisser passer la grippe et s'attaquer aux VRAIES menaces sur notre santé?

Tout c'qui nous précède, on s'en christe...

Il y a quelques semaines, j'ai contacté un mec qui, selon ce qu'on m'avait annoncé chez Pissines Trévial, connaissait ça lui, les spas. Ça tombe mauditement bien, le nôtre fait défaut. Vraiment rien d'affolant : c'est juste la pompe qui n'arrête plus de fonctionner. Conséquence : on consomme un peu trop d'électricité pour rien (énergie verte certes, mais énergie quand même!), on use la pompe 17,4 fois prématurément et l'eau chauffe constamment, puisqu'elle ne cesse d'être agitée par la pompe hyperactive.

Alors voilà, je contacte ce présumé expert du spa — que je nommerai ici avec grand plaisir pour des raisons que vous comprendrez bientôt : mon ami Kevin. Soyez donc avertis de vous tenir à au moins 3 MRC de distance de tout présumé réparateur de spa nommé Kevin. Au téléphone, je lui explique le problème — la pompe, a n'arrête pas — et prends la peine de lui expliquer que notre spa est du genre « vintage »; un modèle 1997 que ma copine a trouvé usagé sur lespac.com (en excellente condition, je dois dire). Un modèle sans ordinateur de bord, sans circuit imprimé : juste de l'électromécanique que j'arrive moi-même à comprendre sommairement, merci à mes profs de physique du secondaire et du cégep. « Pas de problème, me lance un Kevin confiant, je passe voir ça ce vendredi. »

Arrivé devant ledit spa, ledit Kevin m'a donné un de ces shows. Regarde le panneau de contrôle, gratte la tête, feint de tester quelques circuits avec son multimère de luxe, regratte la tête, reteste, regratte - pendant que moi, je regrette de l'avoir fait venir.
90 dollars plus tard (45 $ pour le déplacement + 45 $/h, une heure minimum), je ne fais dire que Kevin, roi du spa, devra consulter un collègue pour comprendre. « C'est un vieux spa sans électronique : c'est tellement simple que je ne comprends pas comment ça marche, ni où peut être le problème. »

Trop simple? Ciboire! À l'université du spa, ils n'enseignent pas la base, faut croire. On vous enseigne à trouver le circuit imprimé, dire au client que c'est ça qui fait défaut et que 400 dollars plus tard (300 $ pour la pièce, 100 $ d'installation) tout rentrera dans l'ordre.
En fait, ce qui me fascine, c'est de voir à quel point on n'enseigne plus la base, d'où viennent les choses. Ce qui existe maintenant, c'est super. Ce qui s'en vient, ce sera mirobolant. Mais tout ce qui nous précède, c'est vieux, c'est d'la merde et on s'en christe. Les artistes de musique électro ingorent souvent qui est Kraftwerk. Les entrepreneurs sont souvent mystifiés quand il croisent des charpentes faites de matériaux autres que du 2 x 4 et du gypse (essayez de trouver un tireur de joint pour réparer votre mur en plâtre sur lattes de bois, pour voir). Les monteurs vidéos utilisent des « bins » (« chutiers », en français) et ignorent que cette métaphore informatique provient de l'époque du montage cinéma à la lame de rasoir. Et évidemment, on entreposent nos aïeux dans des cages à séniles. Travaillent pu, sont vieux, bons à rien! Comme ma scie ronde que j'ai dû réparer moi-même, parce qu'aucun technicien ne toruvait que ça vallait la peine de la rescaper.

Étant du type manuel, qui aime réparer les choses, mais surtout les conserver dans leur état d'origine, il me fait grand plaisir de rencontrer - en moyenne un par an - des fournisseurs, des artisans qui connaissent les racines de leur art. Ce détaillant de pièces de portes et fenêtres, sur la rue Beaubien, qui s'est donné toute la misère du monde pour me trouver une penne et une clé afin de restaurer mes vielles poignées de portes métalliques circa 1930. Ce plâtrier, le père d'une amie à moi, pour qui réparer un mur est une véritable joie et qui fait encore des moulures en plâtre (aux poubelles, le MDF!).
Est-ce vraiment nécessaire et indispensable de connaître tout des origines de son art? Non. Est-ce qu'un artisan accompli, qui pratique son métier en gardant en tête l'expérience et les méthodes de ces prédécesseurs, est plus enclin d'exceller dans son travail? Oui. Est-ce qu'il m'impressionne et m'inspire confiance? Oui. Est-ce que Kevin m'impressionne? Pantoute!

Peu importe notre travail, notre domaine ou notre passion, prenons le temps de fouiner un peu, de comprendre cossé-vient-d'où-de-pourquoi-kissé-comment. Notre travail n'en sera que d'une plus grande Qualité (à cet effet, le livre « Zen and the Art of Motorcycle Maintenance », de Robert M. Pirsig, dont je vous entretiendrai ultérieurement). Les Grecs regardaient droit vers le passé afin de comprendre le présent. Le futur, ils s'en foutaient un peu. À bas la culture Apple du prochain iMachin, qui nous fait acheter une patente luisante en rêvant déjà à sa prochaine incarnation.

J'ai réparé mon spa tout seul finalement (en fait, ça fait 2 fois que je le démanche et le ramanche, pour un total de 200 $ en pièces - une aubaine, je vous l'assure). Je le comprends, il me comprends, on s'apprivoise et je l'entretiens. Il est heureux (il ronronne!) et m'itou! Et à force d'apprivoiser les machines qui m'entourent, j'aborde chaque nouveau projet avec fierté et conviction, au pire un brin d'audace parce que j'me dit que la dernière fois, j'ai été capable de toute façon.

Pas Lassie, mais presque...

Tout le monde a à peu près la même réaction : « Un Colley? Calvaire, ça existe encore ces chiens là? Pis me semble que c'est pas le genre de chien avec lequel je t'imaginais...! »

Depuis toujours, j'ai adoré cette race canine. Je me souviens d'un voyage en moto avec mon père, quand j'étais flo. On avait couché dans un motel en construction, middle-of-fucking-nowhere, parce que ça faisait des heures que Pops roulait et que tous les établissements affichaient un gros NO devant leur VACANCY. Il avait convaincu le proprio (plus constructeur que proprio, à l'époque...) de nous louer une chambre. Me souviens que c'était flambant neuf, super propre, mais que l'extérieur était encore su'l papier nouère, comme on dit par cheu-nous.

Me souviens surtout du chien. Un superbe Colley qui devait avoir 5 ou 6 ans. Assis. Calme. Patient (malgré mon énervement et mon entrain d'enfant de 7 ans). On a débarqué les bagages de la moto et avant même que Pops ait fini de déposer les sacs sur le tapis immaculé, j'étais dans le champ en train de jouer avec le chien. De le flatter. De m'extasier devant son intellgence et mes dons de maître-chien (bin oui toué... Je disais  « assis » pis il le faisait! Quel intelligence! Quels dons!). M'amuser avec lui jusqu'à ce qu'on me force à rentrer dans la chambre pour aller dormir. Et le lendemain, pas question de déjeûner pour moi : jouer avec le pitou, oui monsieur!

Lassie ne m'a jamais impressionné ni captivé; j'imagine que la graine critique sommeillait déjà en moi à ce jeune âge et je me souviens que je trouvais dooooooooooont cette émission plate et mal « stagée » - ça paraissait tellement que, hors cadre, on tenait un gros steak pour attirer Lassie! Mais j'ai toujours adoré les Colley, envers et contre tous, et leurs commentaires « chien de mononc', pu' a' mode, tellement plate et commun ».

Samedi, j'irai chercher Kubrick (que je rebaptiserai ainsi, parce que Ricky... passons!). Du haut de mes 32 ans, du bas de ses 6 mois, on fera un duo d'enfer. Ce sera le plus fin, le plus bô, le plus obéissant, le plus brillant et le plus touffu de tous les chiens du monde. Et quand Lassie appellera à la maison pour que Kubrick passe la prendre, je lui pitcherai les clés du char en lui disant : « Kashmir, fais attention à mon char, mais montre z'y à cette chienne de Lassie qui c'est le boss! »

Tant qu'à perdre mon temps...

Je demeure dans les Laurentides et bosse à Mourial. J'ai le choix :

- 20 minutes de bagnole pour me rendre à la gare, 1 h 20 le cul dans l'train jusqu'au coeur de la Métropole (libre de lire, écrire, travailler, visionner, écouter, somnoler... Alouette!), puis 5 minutes à pied (total : 1 h 45);

- 2 heures (1 h 30, si on est chanceux) les mains crispées au volant à vouloir tuer le char devant moi, le truck devant lui, la remorqueuse 2 km devant, le proprio du VUS qui a embouti la Prius et qui jase présentement avec le gars de la remorqueuse, le flic qui ralentit le trafic avec ses girophares à la con, et le pauvre bougre qui place les cônes sur le bord de la route parce que de gros Tonkas doivent boucher les cratères sur la 15, la 40, la Main, la Ste-Cath et la la-lère.

J'ai donc choisi de vivre heureux, sain, équilibré, vieux, et de vous écrire pendant que le tic-a-tac-a-tic-a-tac des roues métalliques berce le chemin de fer.

Ce soir, on danse...

Tout de blanc vêtus, nous irons tordre nos corps au fil des ondes de choc qui résonneront dans l'immense salle de bal. Pendant quelques heures, oublier qu'il existe un monde en dehors des 4 murs qui nous enlacent. Ça fait des Lunes que, justement, je n'ai pas valsé sous ses rayons. Donc, un plongeon vers le passé, une saucette de jeunesse, question de vérifier si les muscles et l'esprit suivent encore.

Des oeufs dans l'sirop

Ça peut paraître con ou anodin, mais chaque printemps mon paternel entaille une centaine d'érables sur son terrain et s'amuse à en extirper le nectar sucré. Dans sa cabane à sucre, on s'installe autour du feu, on surveille l'évaporateur et on exécute la centaine de petits gestes pour assurer la cuvée annuelle de sirop d'érable. Ce sont ces petits moments, où l'on oublie le chaos urbain, où l'on crée quelque chose de ses mains, où l'on prend le temps d'en perdre un peu, qui me rappellent ce qui me branche réellement, ce qui m'allume.

Inutile de préciser que, de plus en plus, ce qui me fait briller, ce n'est rien de ce que l'on retrouve dans la métropole. La journée terminée, alors que l'eau d'érable est devenue plus visqueuse, plus dorée, vachement plus sucrée, ce sont les futilités qui se sont évaporées.

C'est la flotte

En ce vendredi matin, le ciel se vide. Dommage, car il fait relativement chaud et je « travaille à partir de la maison ». Certes, je dois finaliser un concept pour le boulot, trouver des idées pour une importante campagne de promotion (plus télévisuelle qu'estivale). Mais la pluie nuit à mon travail, d'une façon insoupçonnée...

En effet, mes idées me viennent habituellement alors que je fais tout, sauf penser. M'assoir devant l'ordi est mortel pour trouver des idées. Quand je m'assois au clavier, c'est immanquablement parce que les idées se sont déjà pointé le bout du concept, qu'il ne me reste qu'à les articuler, les justifier et les saisir sur papier (étrange comme expression, alors que le papier est de plus en plus rare en ces temps de documents virtuels...).

La pluie d'aujourd'hui me restreint donc, puisque je ne peux aller jaser avec le soleil, en moto de préférence. Oui, c'est un des nombreux plaisirs de ma monture métallique; lorsque je l'enfourche, que je me sauve des méandres urbains et que j'ai le plaisir de la piloter dans de petits chemins sinueux et peu fréquentés, ma caboche n'a d'autre choix que de se perdre parmi ses propres neurones et de laisser libre cours à l'apparition d'idées loufoques. Pour moi, chercher des idées, c'est exactement comme chercher ses clés : c'est lorsqu'on arrête de s'attarder à cette quête que l'objet convoité fait surface. Se balader en moto, c'est fuir les impératifs de la ville, de la vie et du boulot. C'est surtout trouver la liberté, physique et cérébrale, essentielle à la création. Oh, évidemment, il n'y a pas que ma bicyclette motorisée qui me permette de chasser les idées; la douche, le sport, la musique en sont d'autres.

Mais me semble qu'aujourd'hui, je trouverais mes idées après avoir dévoré quelques centaines de kilomètres de bitume...

Fiel

Il y a de ces jours où l'on se sent merdique. Je viens de prendre la vie d'un minable insecte : je l'ai lancé au fond de l'évier de la cuisine, j'ai ouvert le robinet à pleine capacité et, imperturbable, je l'ai regardé disparaître au fond du drain. Mais honnêtement, au moment présent où je pioche au clavier, je me sens encore moins winner que cette pauvre bestiole. Depuis quelques mois, je suis la victime d'un sadique plaisantin qui se bidonne à miner ma vie personnelle. Il doit bien se la dilater, l'enculé (ou l'enculée...?), losque sous le lâche couvert de l'anonymat, il me lance ses petites missives perturbantes et blessantes. Qu'à cela ne tienne; bien que je me sente au même niveau que le sous-plancher qui accueille la bouse bovine, je me console (à peine) en me convaincant que l'enculée se situe au niveau de la colle à plancher qui tient le sous-plancher. J'ai beau me répéter inlassablement que je suis au-dessus de l'enculé, que je suis un tantinet plus noble que lui, reste que les dagues font leur chemin. Je cache bien les blessures, tel Napoléon et sa célèbre cape rouge, mais avouons que je perds des litres de sang à chaque fois que je balance les bras pour garder la tête hors de ce merdier.

Qui a dit que la politique est ennuyeuse?

Entendu sur les ondes de la radio de Radio-Canada, le 13 décembre 2006 à 17 h : « Les Canadiens pourraient avoir leur mot à dire pour choisir les futurs sénateurs... » Je suis loin d'être un fan de hockey, mais même l'ignare de la puck noire que je suis, trouve l'ironie de cette manchette tout à fait savoureuse.

Coming soon...

Frais sorti d'une série d'événements bouleversants (mais tout de même hautement inspirants et motivateurs), je vous promets de reprendre du service bientôt. Allez, que Dieu soit votre brebis!

"A fresh new start!"

Alors voilà! De grands changements se pointent à l'horizon pour Bruno. Déjà blogueur depuis quelques lunes, j'ai décidé de repartir à neuf: mes objectifs d'écriture se sont précisés, de nouvelles ambitions bouillonnent en moi, un rythme de vie différent (plus sain?) m'appelle et m'attend. Merci de me lire, mais surtout merci de vous manifester, ne serait-ce que pour me lancer un «J'suis là, mec!» au passage...

Certes, on écrit et on entretient not' blogue, mais sans jamais savoir vraiment qui épie notre plume (et on se surprend souvent à se demander si épieurs il y a...). Allez, y'a pas de quoi être gêné; balancez votre retenue au fond du placard, lisez à vous en rendre la vision brouillée et lancez moi fleurs ou pots à volonté. De la confrontation d'idées naissent les prises de conscience!